Longtemps rejetées par la médecine académique, certaines thérapies complémentaires font leur entrée dans les hôpitaux. Les patients les réclament et les preuves scientifiques sont de plus en plus nombreuses à les valider.
Les médecines alternatives
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- Médecines non conventionnelles, douces, parallèles, alternatives…
Les médecines alternatives connaissent, du moins dans les pays développés, un engouement croissant. Avec plus ou moins de succès, leurs partisans exigent régulièrement une reconnaissance dans les systèmes de soins officiels. Ils mettent souvent en avant une efficacité alléguée, mais surtout une popularité et une « demande du public ». Ainsi, en France, le Conseil économique et social et l’Académie nationale de médecine se sont récemment penchés de façon bienveillante sur ces revendications
Source: Pseudo Sciences
- Médecines non conventionnelles, douces, parallèles, alternatives…
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- Les autres médecines qui marchent
Aujourd’hui, la France compte plus de 300 MAC. “MAC” pour “médecines alternatives et complémentaires”. Elles ont de plus en plus de succès, y compris auprès des médecins traditionnels. Mais toutes ne se valent pas. Suivez le guide !
Source: Le Point
- Les autres médecines qui marchent
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- Fondation Suisse pour les médecines complémentaires
Constituée le 21 avril 1991 par des spécialistes en assurance-maladie et des thérapeutes, la Fondation ASCA, fondation suisse pour les médecines complémentaires est un organisme neutre, indépendant et sans but lucratif qui est assujetti à la surveillance de la confédération (DFI). Elle encourage une déontologie professionnelle en tenant compte de l’approche de chaque thérapeute. Elle bénéficie de près de 25 ans d’expérience au service des naturopathes, praticiens de santé, assureurs et patients.
Source: ASCA
- Fondation Suisse pour les médecines complémentaires
Etat des lieux des médecines alternatives
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- Une nouvelle chance pour les médecines “douces” en Suisse
Le Gouvernement suisse a décidé de réintégrer les médecines non «traditionnelles» dans l’assurance maladie obligatoire, pour une période d’essai de six ans. Le temps de prouver, en particulier, leur efficacité.
Source: Swissinfo
- Une nouvelle chance pour les médecines “douces” en Suisse
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- Médecines alternatives et cancer
David Khayat : “Certaines médecines alternatives sont extrêmement positives pour les patients” David Khayat est chef du service de cancérologie à la Pitié-Salpêtrière, responsable du Plan anti-cancer de 2002 à 2007, vient de publier “Le vrai régime anticancer” (Odile Jacob).
Source: Le Point
- Médecines alternatives et cancer
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- Les Etats Unis et la médecine alternative
Aux États-Unis, certains centres marient déjà traitements médicaux classiques et alternatifs. Reportage.
Source: Le Point
- Les Etats Unis et la médecine alternative
- Les médecines alternatives à l’hôpital
En Suisse, la question a connu une avancée qui est passée quasiment inaperçue. Le 2 mai dernier, le conseiller fédéral Alain Berset a indiqué par communiqué qu’il plaçait quatre médecines complémentaires «au même niveau que les autres disciplines médicales»: la médecine anthroposophique, la médecine traditionnelle chinoise/acupuncture, l’homéopathie et la phytothérapie. Cette décision inverse le fardeau de la preuve: les MC n’ont plus à démonter leur efficience scientifique. Avec l’introduction du «principe de confiance», c’est désormais à un éventuel plaignant – par exemple une assurance maladie – de démontrer leur inefficacité.
Source: Le Temps