vendredi 29 mars 2024
AccueilMédicamentsXanaxXanax, la pilule miracle qui mène en enfer

Xanax, la pilule miracle qui mène en enfer

Rate this post

A l’instar d’autres “manuels”, le DSM influence le traitement qui sera proposé. Si le deuil est vu comme une dépression, alors la tentation sera forte de prescrire des antidépresseurs ! Le premier bénéficiaire de cette dérive est dès lors l’industrie pharmaceutique. Pour illustrer ce mécanisme, un deuxième reportage – qui s’entremêle au premier – se penche sur le Xanax.

En 30 ans, le Xanax est devenu le médicament psychotrope le mieux vendu aux Etats-Unis. L’Europe n’est pas loin derrière. Cet anxiolytique est de plus en plus prescrit à la va vite pour traiter toutes sortes d’anxiétés, même très légères, et sur de très longues périodes induisant une addiction similaire à celle de l’héroïne…

L’anxiété

    • Sémiologie des troubles anxieux et phobiquesL’anxiété est une crainte sans objet qui se différencie de la peur classique par le fait qu’elle n’est pas liée à une situation objectivement dangereuse. Elle s’exprime dans trois registres bien distincts : psychologique, somatique et comportemental. Les principaux symptômes du registre psychologique sont l’inquiétude, la tension pouvant s’amplifier en peur, angoisse, voire panique. De plus, des fonctions cognitives d’attention, de perception, de raisonnement et d’apprentissage peuvent être altérées. Les symptômes somatiques sont très souvent mis en avant par les patients. Ils peuvent être de type cardiovasculaire, neurologique, gastro-intestinal … Enfin, les symptômes comportementaux peuvent aller d’une inhibition majeure à de l’agitation.
      Ces différents symptômes peuvent être aigus ou au contraire chroniques. Parfois, les symptômes psychologiques et cognitifs peuvent être au premier plan ; parfois, les symptômes psychologiques ou comportementaux sont les plus visibles, les plus exprimés. Ces différences d’un point de vue quantitatif et qualitatif permettent d’individualiser différentes manifestations de l’anxiété : des manifestations aiguës, d’autres plus chroniques (phobies, obsessions, compulsions) ou survenant dans les suites d’un traumatisme.
      Source: Capdevielle D., Boulenger J.-P. Sémiologie des troubles anxieux et phobiques. EMC (Elsevier Masson SAS,Paris), Psychiatrie, 37-112-A-10, 2007
    • Les bases neurobiologiques de l’anxiétéLa sérotonine et le GABA sont les 2 principales molécules “messagères” entre les neurones (“neurotransmetteurs”) qui sont impliquées dans les états anxieux. Ce sont de fait les cibles communes des médicaments « anxiolytiques ».
      Mais le rôle exact de ces molécules, leurs interactions avec l’environnement sont encore à préciser. L’apport de la génétique et les nouvelles données concernant la plasticité du cerveau doivent s’intégrer à la compréhension chaque jour plus fine des mécanismes en jeu. Patricia Gaspar et Laurence Lanfumey, directrices de recherche Inserm – coordinatrices du projet DEVANX – et leurs collègues, ont cherché à aborder l’étude des bases neurobiologique de l’anxiété sous divers angles.
      juin 2012
      Source: Inserm
    • Troubles anxieux chez l’enfant et l’adolescentSi des progrès considérables ont été réalisés au cours de ces dernières années dans la reconnaissance et le démembrement des états anxieux en diverses catégories cliniques, l’anxiété chez l’enfant et l’adolescent reste un phénomène encore souvent banalisé. La majorité des auteurs s’accorde ainsi à dire que les troubles anxieux de l’enfant et de l’adolescent sont en général méconnus, leur importance et leur gravité potentielle sous-estimées. Certes, la distinction entre anxiété développementale et anxiété pathologique n’est pas toujours facile. Mais tous les travaux d’épidémiologie descriptive montrent aussi que, chez l’enfant et l’adolescent, les troubles anxieux représentent l’une des pathologies ayant la plus forte incidence. Par ailleurs, les troubles anxieux vont peser sur le développement de l’enfant et de l’adolescent, à un moment fondamental de l’organisation de leur personnalité.
      Source: Inserm
    • Le dopage au travail se banaliseDans notre société, la consommation de produits psychotropes s’est modifiée. Aujourd’hui, de nombreuses personnes prennent des drogues non pas parce qu’elles se sentent forcément mal, mais pour aller « un peu mieux », pour se sentir « mieux que bien » : être performant, supporter l’ennui, s’adapter à un environnement social ou professionnel difficile.
      Source: Revue Reiso

Traitement médicamenteux des troubles anxieux

    • Trouble panique, agoraphobie, anxiété généralisée, phobie sociale, phobies spécifiquesLes présentes recommandations thérapeutiques sont les guidelines internationales de la World Federation of Societies of Biological Psychiatry (WFSBP) [1] et résument les stratégies fondées sur les preuves (état actuel des connaissances scientifiques selon les critères de la médecine basée sur les preuves) dans le domaine du traitement des troubles paniques, de l’agoraphobie, de l’anxiété généralisée, de la phobie sociale et des phobies spécifiques selon les critères de l’International Classification of Disease (CIM 10, OMS 1992), ainsi que du Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders (DSM-IV)Traitement médicamenteux : On envisagera la prescription d’un médicament pour un trouble anxieux (tab. 3 p) en présence d’une symptomatologie modérée à sévère chez le patient, apparemment non accessible à une psychothérapie ou lorsque celle-ci ne semble pas souhaitable ou n’a pas apporté le bénéfice escompté. Bien que diverses stratégies thérapeutiques efficaces, bien tolérées et sans risque de dépendance, aient été développées, la pharmacothérapie des troubles anxieux devrait toujours être intégrée à une thérapie multimodale incluant des mesures psycho-éducatives et psychothérapeutiques. On établira pour chaque patient un plan de traitement personnalisé
      Source: Forum Med Suisse 2011;11(34):558–566
    • Utilité des antidépresseurs dans les troubles anxieuxCet article s’intéresse à quatre troubles anxieux particulièrement fréquents tant dans la population que dans les consultations de médecine générale : le trouble panique, les phobies spécifiques, la phobie sociale et l’anxiété généralisée. Initialement limitées à la dépression, les indications de certains antidépresseurs se sont récemment étendues à plusieurs troubles anxieux. Les troubles anxieux représentent des troubles psychiatriques particulièrement importants, en raison, d’une part, de leur fréquence au sein de la population, d’autre part, de leurs conséquences en termes de souffrance personnelle, familiale et sociale. De plus, la prise en charge de ces patients est souvent difficile, d’abord parce que le recours aux professionnels de la santé est souvent tardif, voire inexistant, ensuite parce que le diagnostic est particulièrement complexe, enfin parce que les approches thérapeutiques sont parfois peu validées, voire contradictoires.
      Source: Revue Médicale Suisse N° 76 publiée le 23/08/2006

Traitement non médicamenteux des troubles anxieux : psychothérapie cognitivo comportementale

    • Qu’est-ce que la thérapie comportementale et cognitive?C’est une forme scientifiquement reconnue de psychothérapie adaptée au traitement de problèmes psychiques
      La thérapie comportementale et cognitive part du fait que les comportements, les émotions, les réactions corporelles, ainsi que les raisonnements sont en grande partie des réactions apprises.

Lorsqu’ils s’avèrent source de problème, il est possible de les modifier grâce à la thérapie comportementale et cognitive.

  • elle se base sur des résultats scientifiques.
  • elle est centrée sur la problématique.
  • elle est axée vers des objectifs.
  • elle implique une collaboration.
  • elle est transparente.
  • elle est une aide à l’auto-assistance.

Source: Société Suisse de thérapie comportementale et cognitive

Benzodiazépines

    • XanaxIndications/Possibilités d’emploi : Névrose d’angoisse, y compris troubles psychosomatiques. Etats d’anxiété avec dépression, mais pas comme traitement de premier choix.Symptômes d’angoisse associés à des maladies fonctionnelles ou organiques.Etats de panique chroniques, graves, avec ou sans conduite phobique d’évitement, blocage ou diminution des attaques de panique chez les patients souffrant d’une agoraphobie associée à des accès de panique (d’après DSM-III-R, American Psychiatric Association).
      Source: compendium.ch
    • Xanax® retard : Indications/Possibilités d’emploiNévrose d’angoisse, y compris troubles psychosomatiques. Etats de panique chroniques, graves, avec ou sans conduite phobique d’évitement, blocage ou diminution des attaques de panique chez les patients souffrant d’une agoraphobie associée à des accès de panique (d’après DSM-III-R, American Psychiatric Association).
      Source: compendium.ch

Médicaments psychotropes

    • Les différents médicaments psychotropesLes tranquillisants ou anxiolytiquesIls diminuent l’angoisse et les manifestations de l’anxiété (insomnie, tension musculaire.). Ils ne sont pas indiqués pour une maladie précise mais pour répondre à un état d’anxiété. Cependant, tout état de ce type ne nécessite pas systématiquement une prescription de ces médicaments. Les tranquillisants les plus prescrits, notamment pour des durées longues, appartiennent à la famille des benzodiazépines, connues pour le risque de dépendance qu’elles entraînent. Les tranquillisants sont parfois utilisés de façon toxicomaniaque, à doses massives ou en association à d’autres produits.

      Les somnifères ou hypnotiques

      Ils sont destinés à provoquer et/ou maintenir le sommeil. De ce fait, ils peuvent diminuer la vigilance. Les somnifères les plus prescrits, notamment pour des durées longues, n’appartiennent pas à la famille des benzodiazépines, mais celles-ci sont encore souvent utilisées en raison de leur efficacité contre l’angoisse. Les somnifères sont parfois utilisés de façon abusive, à doses massives ou en association à d’autres produits notamment l’alcool.

      Les neuroleptiques

      Ils relèvent de prescriptions psychiatriques, notamment pour le traitement des psychoses (maladies mentales qui affectent les comportements, le rapport à la réalité et dont le malade ne reconnaît pas toujours le caractère pathologique). Dans le traitement de ces maladies souvent longues, la prise en charge psychologique et sociale du patient doit être associée au traitement médicamenteux. Comme pour tout traitement médical, son interruption est particulièrement déconseillée sans l’avis du médecin. Les neuroleptiques ne sont pas utilisés à des fins toxicomaniaques.

      Les antidépresseurs

      Ils sont prescrits dans le traitement de la dépression dont les symptômes sont notamment : la tristesse, une diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir à vivre, des troubles du sommeil et des troubles alimentaires (perte de l’appétit ou plus rarement boulimie), sensation de fatigue ou perte d’énergie inexpliquées, sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive, diminution de l’aptitude à penser et à se concentrer. Les antidépresseurs peuvent entraîner des effets indésirables : perte de vigilance, somnolence ou excitation.
      Source: Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie

Addiction et dépendance

    • Qu’est-ce que la dépendance?Une personne peut devenir dépendante/toxicomane de certaines substances (drogues) telles que nicotine, alcool, médicaments (par ex. Temesta, Seresta, Xanax, Valium, etc.) ou opiacés (héroïne, morphine, Méthadone), ou encore cocaïne GHB/GBL, cannabis et amphétamines.Au bout d’une certaine durée de consommation régulière et quotidienne, les substances telles que l’Ecstasy, le LSD, la Psilocybine développent une accoutumance et par conséquent n’exercent plus l’effet escompté. Une pause de consommation est donc nécessaire pour retrouver cet effet.

      Il existe également d’autres dépendances ou addictions non liées à la consommation de substances (par exemple addiction aux jeux, achats compulsifs).
      Source: Société Suisse de thérapie comportementale et cognitive

    • Qu’entend-on par dépendance à certaines substances?Il y a dépendance à certaines substances lorsque:
      • le métabolisme s’est habitué à la consommation de substances et que le syndrome de sevrage apparaît en cas d’arrêt ou de réduction de la consommation. Parallèlement on constate souvent une tolérance accrue du corps qui peu à peu réclame toujours des doses plus élevées pour obtenir les mêmes effets et pour éviter les symptômes de sevrage.
      • le psychisme s’est habitué aux effets provoqués par la substance, la personne se sent mal lorsqu’elle est en manque (dépressive, craintive, nerveuse, agressive, apathique, angoissée, etc.). De légers syndromes de sevrage physique font souvent leur apparition. L’accoutumance à la consommation de substances peut conduire à un dosage croissant afin de maintenir l’effet souhaité.

      En matière de dépendance, il existe un lien entre les effets psychiques et physiques.
      Source: Société Suisse de thérapie comportementale et cognitive

    • Manifestation possible du troubleLa dépendance à une substance est caractérisée par le fait que la personne ressent régulièrement le besoin irrépressible de consommer la substance en question. De ce fait, son principal souci est de disposer de la substance chaque fois qu’elle en éprouve le besoin (constitution d’un dépôt en se procurant la substance dans le commerce, chez les médecins ou sur le marché illégal) ou, en tous cas, dès l’apparition des symptômes de sevrage.Une dépendance peut entraîner la perte du travail, des pathologies physiques, des problèmes financiers, un endettement, la perte du partenaire, d’amis et du réseau social, etc.
      Source: Société Suisse de thérapie comportementale et cognitive
    • Monitorage suisse des addictions : être bien informé pour mieux prévenirLe Monitorage suisse des addictions est un projet de recherche qui a pour objectif de collecter des données représentatives de la population résidante en Suisse sur le thème de la dépendance et de la consommation de substances psychoactives. Tabac, cannabis, alcool, médicamentsLes premiers résultats montrent par exemple que le nombre de personnes qui fument en Suisse se monte actuellement à 24,8 %, confirmant ainsi une tendance à la baisse depuis 2001. Le cannabis reste la drogue illégale la plus consommée avec 32,8 % des hommes et 23,2 % des femmes ayant consommé du cannabis une fois dans leur vie. L’alcool est, quant à lui, consommé de façon abusive par 26% des hommes et 14 % des femmes (consommation chronique ou ivresse ponctuelle). Enfin, 9,6 % de la population a pris au moins une fois des somnifères ou des calmants au cours des douze derniers mois.
      Source: Office fédéral de la santé publique (OFSP)
    • Neurosciences de l’addictionLe Collège romand de médecine de l’addiction (COROMA), le Groupe d’experts Formation Dé-pendances (GFD) soutenu par l’Office fédéral de la santé publique (OFSP) et la Société suisse de médecine de l’addiction (SSAM) ont le plaisir de présenter au public intéressé une brochure d’information sur les neurosciences de l’addiction. Ce travail de vulgarisation scientifique dans un domaine d’actualité en plein essor répond à un véritable besoin de tous les professionnels con¬cernés et même du grand public.
      Source: Office fédéral de la santé publique (OFSP)

Dépendance aux benzodiazépines

    • Les benzodiazépines provoquent-elles des démences ?Les benzodiazépines sont, depuis longtemps déjà, prescrites dans le cadre de symptômes anxieux et de troubles du sommeil. On dénonce, ici ou là, des prescriptions massives, trop systématiques ou fort mal adaptées. Certains vont même parfois jusqu’à postuler que cette consommation est, globalement, une réponse pharmacologique à des situations qui n’ont rien de pathologique – ou plus précisément à des souffrances dont la cause première est sociale et non organique. Et ce constat dressé, rien ni personne ne semble en mesure de corriger la situation. C’est sans doute dans ce contexte qu’il convient de situer le travail mené en France et dont les résultats viennent d’être publiés par le British Medical Journal.1 Un travail dont les conclusions peuvent laisser sur sa faim.
      Source: Rev Med Suisse 2012;8:1938-1939
    • Alprazolam (Xanax) revisitéL’alprazolam (Xanax et autres – F ; Xanax – CH, B), une benzodiazépine largement prescrite, est efficace pour le traitement de l’anxiété et des attaques de panique mais la sédation, les symptômes de sevrage et un abus sont fréquents. Les ISRS sont également efficaces et plus sûrs. La thérapie cognitivo-comportementale est probablement plus efficace à long terme. L’alprazolam ne devrait être utilisé que pour le traitement à court terme des symptômes d’anxiété à un dosage le plus faible possible qui soit efficace.L’alprazolam, une benzodiazépine à courte durée d’action, est l’un des médicaments le plus largement prescrit aux États-Unis. Il a reçu l’approbation de la FDA pour le traitement de l’anxiété et des attaques de panique. Une formulation à libération prolongée, le Xanax Retard – CH, B ; non commercialisé – F, qui peut être prise une fois par jour, est récemment devenue disponible pour le traitement des attaques de panique.
      février 2005
      Source: Revue Medical Letter – Editions Médecine et Hygiène

Prévention de l’addiction

    • Qu’est-ce que la prévention des dépendances ?La prévention cherche à atteindre des publics cibles différents par des méthodes variées. Les objectifs de la prévention sont multidimensionnels et dépendent de nombreux facteurs. Les documents que nous vous proposons offrent un aperçu des thématiques de la prévention des dépendances. Les personnes qui souhaiteraient approfondir le sujet y trouveront également des références.Les bases théoriques exposent les principales théories sur lesquelles se fonde la prévention des dépendances. Sont abordées les questions de facteurs de risque et de protection, de même que les théories de l’étiologie et de l’intervention.
      Les concepts de prévention des dépendances présentent deux approches habituellement utilisées centrées sur:

      • le moment de l’intervention
      • le groupe cible

      Source: Addiction Suisse

Médias

    • La molécule qui rend foucytalopram-xanax, témoignage “la déscente en enfer”
      Source: Forum Temps Présent – mars 2012
    • Vivre avec son T.O.CT.O.C. comme trouble obsessionnel compulsif, une maladie de l’anxiété qui touche 3% des Suisses. Ceux qui en souffrent se lavent les mains cent fois par jour par peur de la souillure ou alors se calfeutrent chez eux pour échapper à la contamination de l’extérieur. Cinq Romands ont accepté de raconter leur calvaire.
      Source: Temps Présent – Emission du 20 janvier 2005
    • L’abus de benzodiazépines favoriserait la survenue de démenceLa prise de benzodiazépines, médicaments utilisés contre l’insomnie et l’anxiété, est statistiquement associée à un risque accru de démence chez les plus de 65 ans, selon une étude de l’Inserm, qui renforce les soupçons sur ces molécules trop largement prescrites sur de trop longues durées.”D’après nos analyses, l’exposition aux benzodiazépines des personnes âgées de plus de 65 ans est associée à un risque accru de démence”, indique Bernard Bégaud (Inserm/Université de Bordeaux), co-auteur avec Tobias Kurth de l’étude publiée vendredi par le British Medical Journal (BMJ).
      Source: RTS Info – Octobre 2012
    • Un somnifère détournéC’est une petite pilule bleue qui rend accro…. Sur le marché de la drogue, le dormicum s’échange à prix d’or ; somnifère puissant de la classe des benzodiazépines, il peut être détourné de ses propriétés originales et fait des ravages. Le trafic est même alimenté par des personnes âgées, grandes consommatrices de somnifères.
      Source: Mise au Point – 24 février 2013
    • Dégâts causés par le Dormicum: interview du Dr Anne FrançoisLa généraliste voit tous les jours les dégâts du Dormicum dans la structure d’accueil des toxicomanes Quai 9. Le benzodiazépine a de nombreux effets paradoxaux, notamment amnésiants et engendre une addiction très rapide. Pour elle, on ne peut rester sans rien faire, et il faut réguler la substance, en la mettant par exemple sur ordonnance à souche. En France, le médicament est uniquement utilisé en milieu hospitalier.
      Source: Mise au Point – 24 février 2013

Liens

  • – Addiction Suisse
    – Société Suisse de Médecine de l’Addiction
    – Romandie Addiction
    – Service d’addictologie HUG
    – Office Fédéral de la Santé Publique
    – Unité de Toxicodépendance / Centre Saint-Martin (CSM) CHUV
    – Groupement Romand d’Etudes des Addictions
    – Fédération romande des organismes de formation dans le domaine des dépendances
    – Le portail suisse d’information d’Infodrog addictions, drogues, prévention et aide
    – Site de la MILDT (Mission Internationale de lutte contre la Drogue et la Toxicomanie) du gouvernement français
    – Compendium suisse des médicaments
Sandra Muller
Sandra Muller
Bonjour, je m'appelle Sandra, j'ai 32 ans et je suis étudiante en pharmacie. Passionnée par le domaine de la santé, j'aspire à devenir pharmacienne et contribuer à améliorer la qualité de vie des personnes. Bienvenue sur mon site web !
RELATED ARTICLES
- Advertisment -
Google search engine

Populaires

Commentaires récents